Roseline Rabin observe dans le nord de la France le rapport des enfants au conte. Non pas tant dans la démarche d’écriture même que dans la participation et l’écoute du conte transmis à l’occasion de spectacles.
Jean Foucault rend compte d’un atelier de création avec les poètes Rwandais, qui s’est déroulé en février 2004 à Kibuye (bord du lac Kivu, Rwanda). La traduction et l’émotion figurent comme deux entrées dans l’atelier.
Cette présentation est complétée par une autre page qui présente des productions de poètes, réalisées sous le thème de l’espoir.
Les poètes se sont crées en association appellée « Iriba », mot qui en kinyarwanda veut dire « source », « au lustrale », « abreuvoir ».
(p. 17 et p. 33)
Approche du haiku
Ce texte établit le compte-rendu d’une séance de formation organisée par Jean-Hugues Malineau le 25 septembre 2003 à Eaubonne (Val d’Oise). Elle regroupait des enseignants de la commune et amorçait une action d’écriture de haïkus durant la saison scolaire (un très beau travail en a été publié aux éditions « points de suspension » du Val d’Oise, en juin 2005)
(p. 22 - 25)
Le monde de la tentation ou le royaume des mots
l’aventure de quelques maîtres d’’école qui deviennent au fil d’ateliers des apprentis-écrivains. Leur démangeaison de la plume les conduisent à la création effective de livres, dépassant le cadre de l’exercice pédagogique.
(p. 27-31)
Les Adoslivres au lycée Condorcet de Belfort... et ailleurs
Courte présentation par Odette Michel d’une expérience qui permet de développer auprès de jeunes de classe de seconde l’attrait pour un genre qui pourtant a priori attire moins à cet âge : l’album.
(p. 32)
Une lecture de : Une école pour les enfants de Seine-Saint-Denis
Lecture du livre de Joseph Rossetto, principal du collège Pierre Sémard de Bobigny, publiée chez l’Harmattan. Il y rend compte de l’expérience de son établissement. Ici on ne « classe » pas les élèves, on met au cœur du projet l’histoire de chacun.
(p. 34-35)