A l’occasion de la fête de la science dont le thème était 2005 « les mathématiques », l’atelier d’écriture que la plume verte destinait aux enfants en fut largement imprégné. D’ailleurs toutes les animations de la plume verte s’appuyait sur le thème « mathématiques et écriture ».
La proposition à la quelle les jeunes lecteurs du centre culturel français ont réagi était la suivante : « Je vous propose de décrire cette machine de façon mathématique (en utilisant des chiffres, des formes géométriques, et termes propres aux mathématiques) de préférence dans un court récit. »
Voici un échantillon de ce qui a été produit sous la direction de l’animateur du jour, Koffivi ASSEM.
Atelier description de machines extraordinaires
Le X.330
Machine à explorer le fond des mers : 7 mètres de long et 8 mètres de large, elle se déplace grâce à 4 pattes. Machine ronde, elle à 5 mètres de haut. A l’avant du vaisseau, petit vaisseau explorateur, 2 pinces de 3 mètres chacune. A bord : 6 places, matériel de plongée, avec pelles et lampes. Elle se déplace aussi avec 1 moteur à hélice.
Pierre-Marie François, 7 ans et demi
Wolfgang Mestrieux était le fils d’un riche. Mais il n’avait pas cette nature pompeuse et oisive des gens de la bourgeoisie. Il s’enfermait et travaillait en physiques et mathématiques. Son père en était venu à l’ignorer tout comme ceux qui l’entouraient. Dans l’atelier de Wolfgang, il y avait beaucoup de dessins géométriques de machines imaginaires. Avait-il l’intension de les réaliser un jour ? On ne sait pas. Mais l’on connaissait sa fameuse machine volante car il en parlait tout le temps. Ce n’était pas les moyens qui lui manquaient, alors il se décida à fabriquer sa machine et de la faire voler pour que la société arrête de penser que ses expériences étaient du fait de la connerie. Il se procura une grande quantité de métal et commença la construction en 1872. C’était une gigantesque machine de forme aérodynamique. Il lui fit des ailes comme celles d’une chauves souris : de vastes membranes en caoutchouc traversées par des segments métalliques. La partie réservée aux passagers était recouverte par une vitrine. Deux voyageurs étaient obligés de pédaler de toute leur force pour fournir l’énergie nécessaire. Ils étaient très serrés, alors Wolfgang fit des trous d’aération dans la coque. Il pensait bien que l’énergie fournie par les passagers ne suffirait pas, alors il muni l’appareil d’une machine à vapeur, une récente invention. Il avait muni l’appareil de 4 roues pour qu’il puisse rouler et prendre de l’élan. Avec l’aide de quelques techniciens payés au prix fort, il acheva sa machine après 5 ans de travail. Elle avait 6 mètres de long et pesait 2 tonnes. Bien qu’il ne savait pas comment faire atterrir l’appareil, il le fit décoller. La machine s’envola jusqu’à 1500m du sol et resta en l’air au moins 15 minute, puis se fracassa sur le sol parce que l’énergie était toujours insuffisante.
Badombéna Déborah
En considérant, ses grandes ailes et son corps, l’appellation « Appareil Volant Imitant Oiseau Naturel »bien qu’empruntée irait bien à cette machine, un ancêtre des avions modernes. Son corps est un module de forme cylindrique avec un cône à chaque bout. Ses ailes par leur impressionnante mobilité complète le caractère aérodynamique de l’appareil. Avec des dimensions de 15m sur 5m pour le corps et 25m environ d’envergure, il possède des roues qui lui son indispensable lors de l’atterrissage. Sa création aurait certainement été guidée par le vœu de l’homme de l’homme au XIX siècle de voler comme un oiseau.
Konu Rodion, 14 ans
Bateau glisseur N° 6640K2 Il permet de se déplacer sur la neige et de se déplacer sur la terre. Il a comme longueur 8 m et une hauteur de 4m. Il a été inventé en 640. Il a commencé à fonctionner en 642. Il avait 2 portières, des vitres qui le recouvrent pour le protéger du froid et 6 pneus glisseurs. En 826, il avait déjà disparu.
Foley Gilberto, 12 ans
J’ai une machine qui a 4 ailes, 3 pneus. Quand elle est chaude, ma machine rigole. Elle se nomme le RVR.RIO 455. Elle roule très vite sur une distance donnée et ses 2 amortisseurs la projettent en l’air. Avant d’atterrir, elle sort ses amortisseurs. Au bout de chacun on trouve 1 pneu.
Kolassoga Rigobert luc