Argument
Nous proposons aux animateurs d’ateliers de travailler à la mise en place d’un projet cohérent mettant en valeur l’écriture. Nous verrons les différentes étapes à retenir, Nous rencontrerons un créateur. Le dispositif suivi s’appuiera sur la création d’un pays qui n’existe pas (un autre volet abordera au contraire la problématique de la mémoire des quartiers)
Matinée
Après-midi
M. Farella Renaud profresseur au collège Léon Blum de Villiers le Bel.
Compte tendu d’expériences (avec ses modalités pratiques) menées pendant plusieurs années au collège de Villers le Bel.
Lieu :
Jean Foucault
Jean Foucault est responsable de l’association Lignes d’écritures et, dans la recherche, coordonnateur d’un réseau de l’Agence universitaire de la francophonie, dans le domaine des « littératures d’enfance ».
Sociologue et écrivain il participe à des projets de mémoire sociale et accueille dans son association des initiatives allant en ce sens. Lignes d’écritures œuvre avec des personnes des pays de l’immigration dans leur pays.
Farella Renaud
Professeur d’histoire au collège il réalise depuis plusieurs années avec son collègue A1lain Degenne, professeur de lettres modernes, un travail transversal sur la mémoire, donnant lieu à échanges et publications multiples (voir « Objectif réussites n° 4 et 5, publiés en 2005) : Ecrire sur le XXe siècle a représenté un chantier mené pendant 3 ans. En 2006-2007 le travail en cours s’intitule : « D’un visage à l’autre, portraits croisés autour de l’Algérie et la France d’hier à aujourd’hui ». Dans ce cadre les jeunes collégiens rencontrent des artistes algériens (entretiens et photographies).
http://www.histoire-immigration.fr/ La Cité nationale de l’histoire de l’immigration affronte un double défi. Le premier est de faire admettre comme patrimoine commun ce phénomène indissociable de la construction de la France qu’est l’histoire de l’immigration.
Le second est de mettre au cœur de son projet le public et les “habitants”, la Cité nationale de l’histoire de l’immigration se définissant comme un lieu et un réseau. À ce titre, elle ambitionne : (…)
de constituer une institution culturelle mais aussi pédagogique et sociale ;
de concevoir son musée national comme projet de collecte et non de collection. Cette collecte des “traces matérielles et immatérielles de l’histoire de l’immigration” doit s’appuyer sur la participation des habitants.
Inscription, demande de renseignements :