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Qui mais qui donc conserve des productions de jeunes ?
Production d´ateliers, manuscrits de jeunes, manuscrits de concours d´écritures, etc.
Nous listons ici peu à peu les partenaires qui conservent et rendent accessible à d’autres des productions qui dépassent le cadre de ce qu’ils génèrent eux-mêmes éventuellement dans leurs ateliers.
Faites-vous identifier si vous êtes dans ce cas.
La liste
CREAL, Centre de ressources de l’Ecriture et des Arts du Livre
13, rue Lavoisier, 22000 Saint Brieuc Centre associé à la FOL des Côtes d’Armor
Certains CRDP ou CDDP
Nous demandons aux responsables de réagir pour que nous les mentionnions ici, quand ils sont en mesure effectivement de lister les productions conservées dans ce domaine et de faciliter l’accès aux personnes intéressées, pouvant éventuellement ne pas être de l’Education Nationale.
Le CLEMI
Conserve la presse jeunes en milieu scolaire (collèges et lycées) Site Clemi à partir duquel on peut trouver l’information de base, prendre contact,... Clemi <http://www.clemi.org/>
LA FANZINOTHEQUE
Le grand centre du fanzine à Poitiers qui a commencé depuis très longtemps a recueillir les fanzines amateurs provenant des productions jeunes (notamment lycéens ou étudiants au départ) La grande entreprise de classement et d´archivage de toute la petite presse spécialisée (musique, bande dessinée, SF, etc...) avec une moyenne de 150 Fanzines reçus par mois.
-Un centre de ressources et de documentation sur les Fanzines et revues amateurs : éditions de petits guides des fanzinats Rock et BD. -Un lieu ouvert à la consultation publique et au prêt (20000 volumes disponibles).
Adresse : 185, rue du fbg du Pont-Neuf, 86000 POITIERS
tél : 05.49.46.85.58.
<http://www.fanzino.com/pages/sommaire2.htm>
La maison des écrivains
Conservation (pendant combien de temps ?), lorsqu’il y a des activités où interviennent des écrivains dont ils assurent le financement. < http://www.maison-des-ecrivains.asso.fr/>
Adresse : Hôtel d´Avejan, 53, rue de Verneuil, 75007 Paris
tél : 01 49 54 68 80
Deux interrogations parmi d’autres dans ce domaine :
Une grande absence dans ce champ : aucune institution ne s’est senti concerné par la conservation de la mémoire des écrits de jeunes. Nous avons pourtant eu divers pourparlers depuis dix ans. Un chantier à poursuivre. pour en discuter.
Que deviennent les productions réalisées dans le cadre de la politique de la Ville ? Et nous ne parlons pas ici des seules productions « jeunes » :un gros travail de récits de vie, histoires de quartier mériteraient sans doute mieux que cela.
Ces interrogations (et quelques autres) montrent la difficulté à intégrer ce champ dans la mémoire sociale. Comme toute mémoire, elle est sélective. A nous - avec tous ceux qui se sentent concerner - d’activer en ce sens la mémoire de notre société.
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